Si vous aimez : Bandit Bandit, Amyl and The Sniffers, BRNS
Dans le cadre du festival itinérant Les Femmes s'en mêlent, Le Gueulard Plus vous invite à un pur moment de folie et de liberté.
WE HATE YOU PLEASE DIE
We Hate You Please Die nous embarque dans une virée mémorable où l'énergie punk déborde de toutes parts. Déchaînements de fureur succèdent aux mélodies accrocheuses : une expérience explosive et jouissive.
Avec son rock up-tempo entre post-punk et variété italienne, Ada Oda aime les unions improbables. Au son des guitares, de la boîte à rythmes et de la voix de Victoria Barracato, voici un son qui balance pas mal et n'en finit plus de nous enivrer.
Le festival LES FEMMES S’EN MÊLENT a vu le jour pour la première fois à Paris en Mars 1997.
Bien avant les débats sur la parité, LES FEMMES S’EN MÊLENT (LFSM) apporte une réponse à la sous-représentation des femmes dans la plupart des festivals, en proposant une programmation audacieuse et devenant ainsi le premier festival international défendant la création musicale des artistes femmes.
Il devient itinérant dès sa troisième année et propose des concerts LES FEMMES S’EN MÊLENT dans de nombreuses grandes villes de France. Il s’enrichit désormais d’un dispositif LES FEMMES S’ENGAGENT (ateliers, conférences, rencontres, projections, débats) qui œuvre pour pour plus d’égalité dans les musiques actuelles.
LA PRESSE EN PARLE
Libération à propos de We Hate You Please Die
Qui a dit que le rock était mort ? En France, en ce moment, il semble plutôt renaître chez une myriade de petites formations, comme ce quatuor rouennais qui sort un deuxième album qui, à défaut de réinventer la roue, la pousse vite et fort pour qu’elle avance
Les Inrocks à propos de Ada Oda
Au programme : un mélange parfait entre pop-rock et post punk, le tout avec un grain vintage et des paroles en italien. Lire en ligne
Mowno à propos de We Hate You Please Die
La liberté d’écriture et sa folle créativité se remarque dès la première écoute, l’énergie des premiers enregistrements est intacte. Lire en ligne
Nicolas Alsteen à propos d'Ada Oda
Meilleur nouveau groupe du monde pour voir l’Italie qui gagne et qui enchante, le combo bruxellois passe à l’attaque via la voix de Victoria Barracato. La chanteuse d’origine sicilienne chante l’amour sur un lit de guitares post-punk. De quoi célébrer des unions improbables.
Rolling Stone à propos de We Hate You Please Die
Second album percutant entre hardcore/punk et garage. On peut s’arrêter là et cela doit vous suffire pour tendre une oreille à “Can’t Wait To Be Fine ».
Focus Vif à propos de Ada Oda
Un groupe sautillant qui vient de débarquer dans le paysage musical belge, avec quelques têtes connues derrière les instruments, mais surtout une fraîcheur sans pareil dans le chef de sa chanteuse. Elle balance en italien qu’elle n’a rien à offrir, mais au contraire, on a envie de parier sur le carton que son gruppo pourrait faire. Lire en ligne